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BORIS DU BOULLAY

Mon cinéma, violemment marqué par Rossellini, Duras, Tarkovski, Chaplin ou Rozier, cherche un écho aux pistes défrichées par fluxus ou par Chris Burden, tout en travaillant un sillon phénoménologique propre avec l’idée que le cinéma peut restituer le temps antérieur en lui substituant des traces de l’absence.


Centrés sur l’intime, l’écriture et le quotidien, jouant de l’absurde dans la distance au réel, travaillant sur la vitesse, l’improvisation, l’accumulation et la profusion, mes films tentent d’explorer la voie ouverte par Michel Henry sur l’auto-donation (où il n’y aurait plus de distance phénoménologique entre le donné et le donnant).

Source & Remercviements : Boris du Boullay 

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